Tout dans la vie est une question d'équilibre d'où la nécessité de garder un esprit sain dans un corps sain.

Discipline-Volonté-Persévérance

Everything in life is a matter of balance therefore one needs to keep a healthy mind in a healthy body.

Discipline-Will-Perseverance.

E. do REGO

Tuesday, May 31, 2011

SUGAR IN FOOD :THE POISON

We know the facts, but this brings perspective quickly, doesn't it? 

------- Each cube is a teaspoonful.



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Wikio

stévia.


Nom commun : stévia.
Nom botanique :
Stevia rebaudiana, famille des astéracées ou composées.
Nom anglais :
stevia.
Partie utilisée : feuilles.
Habitat et origine :
petit arbuste originaire du nord de l’Amérique du Sud (Brésil et Paraguay), aujourd’hui cultivé sur une base commerciale en Amérique centrale, en Amérique du Sud, aux États-Unis, en Russie et en Asie.

Indications

Efficacité possible
Usage traditionnel
Réduire la tension artérielle.
Voir la légende des symboles
Efficacité incertaine
Usage traditionnel
Abaisser le taux de glucose sanguin.
Pour plus de détails, voir Recherches sur le stévia.

Posologie du stévia

On attribue les effets du stévia aux stéviosides qu’il renferme. La teneur en stéviosides des feuilles peut varier de 4 % à 20 % du poids sec en fonction des cultivars employés et des conditions de culture. Pour obtenir l’effet thérapeutique recherché, il importe donc d’employer un extrait normalisé en stéviosides.
Hypertension artérielle
  • Prendre de 250 mg à 500 mg de stéviosides, 3 fois par jour.

Historique du stévia


Il a quand même fallu attendre le début du XXe siècle pour qu’on commence réellement à s’intéresser aux stéviosides de la plante, qui possèdent un pouvoir sucrant de 100 à 300 fois supérieur à celui du sucre sans aucune calorie.Les Indiens Guarani d’Amérique du Sud ajoutaient à leurs infusions de plantes des feuilles de stéviapour les adoucir. Au Brésil et au Paraguay, on les utilise depuis des siècles en cuisine. En Amérique latine, la phytothérapie traditionnelle considère le stévia comme hypoglycémiant, hypotenseur, diurétique et cardiotonique.
Au début des années 1970, le Japon a interdit l’usage des édulcorants artificiels (aspartame, saccharine) parce que les autorités craignaient leurs effets négatifs sur la santé humaine. Au même moment, un consortium japonais mettait au point une méthode d’extraction des glucosides du stévia. L’État japonais a alors autorisé l’extrait de stévia comme édulcorant alimentaire. Son usage s'est rapidement répandu en Asie et en Amérique du Sud. Il est également approuvé en Australie et en Nouvelle-Zélande depuis 2008 et est désormais présent dans plusieurs produits agroalimentaires : de la sauce soya aux boissons gazeuses en passant par la gomme à mâcher, les tortillas et les gâteaux de riz.
En mars 2009, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) a émis un avis favorable pour l’utilisation du rebaudioside A (une des molécules du stévia) comme additif alimentaire pour une période de 2 ans1. En avril 2010, la European Food Safety Authority (EFSA) a estimé que les stéviosides étaient sécuritaires comme additifs alimentaires2.
Aux États-Unis
Le stévia est commercialisé sous forme de supplément, mais il n’est pas approuvé comme édulcorant ou additif alimentaire dans ce pays. En revanche, certaines multinationales ont présenté des demandes pour leur molécule brevetée à base de stévia, dossier scientifique à l’appui. En décembre 2008, Coca-Cola et PepsiCo ont ainsi obtenu le feu vert de la Food and Drug Administration (FDA) pour incorporer, dans leurs produits, respectivement le Truvia® (fabriqué par Cargill) et le PureVia® (fabriqué par Whole Earth Sweetener). Ces produits sont aussi commercialisés par leurs fabricants respectifs à titre d’édulcorant qu’on peut ajouter soi-même aux boissons et aux aliments. En mars 2008, la compagnie Wisdom Natural Brands a obtenu l’autorisation de commercialiser son extrait purifié de stévia, SweetLeaf®, à titre d’édulcorant.
Et au Canada?
Pour l’instant, comme aux États-Unis, la vente de la plante brute et de ses extraits est permise à titreproduit de santé naturel, mais pas comme additif dans les aliments transformés. Santé Canada se dit prêt à réviser cette position si l’industrie alimentaire fait une demande d’approbation adéquatement documentée pour ajouter l’extrait de stévia aux additifs autorisés.
En revanche, depuis septembre 2009, le stévia et ses extraits sont autorisés, sous certaines conditions, comme ingrédient médicinal et non médicinal dans les produits de santé naturels3. Santé Canada explique cette différence par le fait que les habitudes d’utilisation des aliments et des produits de santé naturels sont différentes : les aliments sont généralement consommés en grandes quantités, ce qui n’est pas le cas des produits de santé naturels4.

Recherches sur le stévia

Au Paraguay et aux États-Unis, on a mené des essais auprès de personnes dont la tension était normale ou légèrement plus basse que la normale. La prise de 750 mg d’extrait de stévia par jour durant 3 mois10 et 1000 mg par jour durant 4 semaines11 n’ont pas eu d’effet mesurable sur la tension artérielle des participants. L’auteur d’une synthèse émet l’hypothèse que l’effet bénéfique du stévia sur la tension ne se manifesterait que lorsqu’elle est trop élevée12.Efficacité possible Hypertension artérielle. Selon les résultats actuels, les extraits de stévia seraient utiles pour les personnes souffrant d’hypertension, mais des doutes subsistent. En Chine, 2 études cliniques de très bonne qualité et de longue durée (1 an et 2 ans, 750 mg et 1 500 mg de stéviosides par jour5,6) ont donné des résultats concluants auprès de patients souffrant d’hypertension légère ou modérée (réduction d’environ 7 %). Malgré la qualité de ces essais, certains analystes soulèvent le fait très surprenant qu’aucun effet placebo n’ait été observé lors de ces 2 études, ce qui jette un doute sur leurs conclusions7,8. En 2006, une étude menée au Brésil n’a pas été concluante9. Ceci peut être attribuable au nombre très restreint de sujets (14) et au dosage nettement moins élevé que celui des essais menés en Chine. Ces 3 études ont néanmoins clairement établi l’innocuité de la prise régulière de stéviosides sur de longues périodes.
Efficacité incertaine Glucose sanguin. Des essais de faible envergure (de 12 à 31 sujets) indiquent que l’extrait de stévia a :
- augmenté la tolérance au glucose et abaissé le taux de glucose sanguin chez des sujets en bonne santé13.
- abaissé la glycémie après un repas type chez des patients atteints de diabète de type 214.
- abaissé la glycémie après un repas chez des personnes minces ou obèses en bonne santé15.
Malgré ces résultats prometteurs, des études de meilleure qualité et de plus grande envergure seront nécessaires avant de conclure à l’efficacité du stévia.
Ces résultats tendent à corroborer l’usage traditionnel du stévia qui est utilisé en Amérique du Sud pour traiter le diabète. Cependant, ils n’ont pas été confirmés par 2 autres essais menés sur des sujets en bonne santé11,16. Là encore, l’auteur d’une synthèse émet l’hypothèse que l’effet bénéfique du stévia sur la glycémie ne se manifesterait que lorsqu’elle est trop élevée12.
Divers. Les chercheurs s’intéressent également aux effets anti-inflammatoires et anticancer des extraits de stévia. On ne dispose pour le moment que de données in vitro et sur les animaux12,17.

Précautions

Potentiellement toxique? Les Japonais estiment avoir démontré l’innocuité du stévia et de l’extrait standardisé en stéviosides18. Cela a permis à ce pays et à plusieurs autres en Asie et en Amérique du Sud d’autoriser son emploi comme additif alimentaire. Le stévia et les extraits standardisés en stéviosides sont employés depuis environ 30 ans dans ces régions du monde. Cependant, certains pays, dont le Canada, ne l’ont pas encore autorisé.
La raison le plus souvent invoquée pour justifier cette prudence est que les stéviosidespourraient avoir un impact négatif sur la reproduction humaine. Selon une source ethnobotanique paraguayenne, le stévia serait en effet considéré, à fortes doses, comme une plante abortive19,20. Un potentiel effet cancérigène inquiète également les autorités de santé. Après avoir analysé attentivement l’ensemble des données sur ces questions, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu, en 2006, que les stéviosides n’ont pas d’effets négatifs sur la reproduction et ne sont pas cancérigènes21.
La dose journalière sécuritaire fixée par Santé Canada, dans le cadre de la réglementation des produits de santé naturels, est semblable à celle fixée ailleurs dans le monde, soit 10 mg de stéviosides par kilogramme de poids corporel. Cela correspond à 600 mg par jour pour un adulte de 60 kg. Pour les personnes consommant des feuilles de stévia en poudre, cela équivaut à un maximum de 50 mg/kg, soit 3 500 mg pour un adulte de 60 kg3.

Attention

  • On recommande aux personnes souffrant d'un diabète de type 2, d’hypertension ou d’hypotension qui désirent prendre du stévia de vérifier régulièrement leur taux de glucose sanguin ou leur tension artérielle, afin de faire ajuster leur médication si nécessaire.

Contre-indications

  • Par prudence, certaines sources recommandent aux femmes enceintes et à celles qui allaitent d’éviter de consommer de grandes quantités de stévia.

Effets indésirables

  • Le stévia pourrait provoquer des allergies chez les personnes allergiques aux plantes de la famille des astéracées (marguerite, pissenlit, chrysanthème, etc.), bien qu’aucun cas n’ait été signalé à ce jour22.
  • Selon un essai conduit sur des animaux, le stévia ne provoque pas de carie23.

Interactions


Les effets du stévia pourraient s’ajouter à ceux des plantes ou des suppléments qui ont une action hypotensive ou hypoglycémiante.
Avec des plantes ou des suppléments

Avec des médicaments

  • Les effets du stévia pourraient s’ajouter à ceux des médicaments hypotenseurs ou hypoglycémiants.

Sur les tablettes

La poudre de feuilles séchées. Son pouvoir édulcorant est de 10 à 15 fois plus élevé que celui du sucre. Elle a été traditionnellement employée pour adoucir le goût des tisanes de plantes amères.Dans le commerce, on trouve le stévia sous 2 formes principales.
  • L’extrait normalisé (au moins 90 % de stéviosides). Il est constitué d’une poudre blanche soluble dans l’eau. Il est aussi offert sous forme liquide. Son pouvoir édulcorant est beaucoup plus élevé que celui du sucre raffiné (de 100 à 300 fois), sans aucune calorie. Il faut l'utiliser avec beaucoup de parcimonie. Les sites Internet qui en font le commerce présentent des tables de conversion (spécifiques à leurs produits) qui permettent de doser adéquatement cet édulcorant.
Le goût. La feuille entière a un arrière-goût un peu amer qui peut rappeler la réglisse. L'extrait en poudre, une fois mélangé à un liquide, aurait moins d'arrière-goût. Des extraits liquides aromatisés sont aussi offerts (menthe, vanille, etc.).
Réviseur :
Pierre Haddad, Ph. D., professeur titulaire, Département de pharmacologie, Université de Montréal (mai 2011)
Recherche et rédaction : Passeportsanté.net
Mise à jour : mai 2011

Monday, May 23, 2011

Train More or Eat Less?


What's the Best Way to Boost Fat Loss?

Train More or Eat Less?: What's the Best Way to Boost Fat Loss?


The Decision

If your goal is fat loss, then there's going to come a time when you have to make a decision: How much more am I going to diet? How much cardio or extra exercise am I going to do? Which is better?
Typically, there are four basic strategies when it comes to getting ripped:

Strategy #1: Drugs

Most of us aren't going to go this route, nor do we need to, but I have to mention it because it's a method commonly used by professional bodybuilders.
I was reading an old bodybuilding interview from the Tom Platz era where the competitor said, "Oh, you really don't need a lot of cardio." I'm thinking, well, you didn't, dude!
But if you're not artificially elevating your basal metabolic rate, jacking around with lots of thyroid meds, clenbuterol etc., then at some point you have to bring cardio into the equation.

Strategy #2: Cardio

There are two basic types here: the non-panting, semi-fasted variety that I've written about before and high-intensity work like sprints and intervals. These can be used in conjunction with each other or independently depending on your state of training.

Strategy #3: Food Restriction

Sure, this is obviously part of any diet plan, but you can only push it so far.
There's a miniature literature review here on the site that outlines how far one can go while avoiding "starvation mode" (metabolic slow-down) by sticking to just moderate kcal restrictions.

Strategy #4: More Weight Training

Train More or Eat Less?: What's the Best Way to Boost Fat Loss?
Although we don't think about it often, a longer weight-training workout does lead to extra calorie expenditure, some derived from fat oxidation.
We shouldn't forget that hitting the iron itself increases subcutaneous abdominal fat breakdown and "burning." (Ormsbee, et al. 2009) If you're going to try to avoid cardio, your only other options are more volume, finishing work, or accessory work during your regular training session.
Of these four strategies, two get the most attention: cardio and diet. So let's take a look at each and establish some guidelines.


Calories: How Low is Too Low?

You've heard this applied to other topics, and it's true for calorie intake as well: "You can only go so far to the left before you've got to go back to the right."
How many calories can you get away with before your metabolism really slows down and you go into starvation mode?
Starvation mode is something you have to avoid at all costs. Your basal metabolic rate (BMR) is about 65 or 70% of all the calories you put out every day. So when you slow that down, even a cardio workout that burns 400 calories may just be making up for a depressed BMR.
In the classic underfeeding studies in the 60's and 70's, college-aged men were fed 3500 calories per day, then dropped to only 450 per day. These poor guys experienced up to a 45% drop in BMR in a single month. (Bray, G., 1969)
That's true starvation mode: their bodies were trying to keep from dying, their metabolisms were "panicking" and slowing down because it was assumed they were in the middle of a famine.
When you do a literature review, the magnitude of reduction becomes fairly clear: somewhere around 600 or 700 calories intake is about as far as I'd want to initially go.
What's maintenance intake? It's about 3000 kcal per day in a typical (non-lifter) college male. (Borel, M., et al 1984)
Okay, so if the average college male needs 3000 calories per day, the first step might be to drop to 2400. That's definitely below maintenance for any adult male who's lifting weights.
That may be the first stage. I don't think it's a good idea to jump right into a very aggressive diet. You probably aren't relying on lots of drugs, so you really have tiptoe here – or at least show some respect. Ease calories down in a more controlled manner rather than going from a full-on mass phase to a crazy-strict 1600 calorie diet.
Hormones change fairly quickly in response to eating patterns. As my old endocrine professor said, "When it comes to hormones, you have to nudge the body." You don't force it, because then homeostatic mechanisms kick in and make you pay the price tenfold.
It's not that painful to get down to a 2400 calorie intake. If you do something practical like cut the carbs out of your dinner and stop drinking calories (other than protein shakes and peri-workout drinks), you can get there easily. Just cut out the obvious junk food and 2400 is an easy mark to hit.
Do that for the first month or so. After the first month, you're used to eating clean: no more junk, a lower carb dinner, etc. Then, in a month or two, continue the negative calorie balance with some cardio rather than dropping calorie intake again right way.
I like the non-panting morning variety (walking on a treadmill) because it doesn't overtrain you. You're not crossing any stress hormone thresholds. That said, you could do some high-intensity interval work after your weight-training workout if that's your preference. I've been known to switch to this when I really needed the extra hour of sleep the prior morning (making pre-breakfast cardio impossible).
But frankly, I usually don't have anything left in me after the weights. When I hear people say they do "lots of interval work" after their regular workouts, I worry that they're not going to achieve their best muscular gains. That can be easily overdone: you're dividing your body's resources – half into the weights and half into the constant aerobics training. Not good.
Although controversial due to methodological differences, sub-optimal training responses have been well-documented in spaceflight, military, and other studies. (Carrithers, J. et al. 2007; Docherty & Sporer 2000; Dolezal & Potteiger 1998; Dudley & Djamil, 1985; Santtila, M., et al. 2009.)
Now, at bodybuilding shows, I hear my fellow competitors talk about how they quickly reduce calories to very low levels, then stay there for 12 weeks. Well, in open competitions, when the competitor is on lots of "gas," he can do that. I can't, so I try to coax the body fat off with a 20-week diet that starts "easy" and gets more aggressive toward the end. This is not only metabolically smarter, it's psychologically better – for me at any rate. It builds momentum.
During the first month, I just cut down the calories moderately. (Sometimes I'll do some very limited interval work on the bike just to set the stage for the following month.) The second month I add in regular non-panting cardio, keeping calories the same. With the pre-breakfast style cardio that I do, I usually drain off 400 more calories.
So if you're eating 2400 kcal per day, you're now down to 2000 in a sense because you're "bleeding off" another 400 with the extra work. Now you're in a calorie deficit through a combination of dietary manipulation and cardio.
If it doesn't ask you, it's going to assume you're a 150-pound dude. If you're not, then you're burning far more calories than it tells you.
That's still no guarantee that it's accurate. Those consoles on the cardio machines are just glorified calculators, not portable metabolic carts, but at least it's a step in the right direction.


The Exercise Factor

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Remember, exercise is not just anti-eating. Exercise builds structures like capillaries and mitochondria. In other words, exercise builds your fat-burning machinery.
Let's say your maintenance level is 3000 calories per day. After a month or so of easing calories down, you drop 600 calories, then spend another 400 calories on cardio several days a week. Now you're 1000 calories sub-maintenance.
Now is when you have to start making decisions based on your results and individual needs. You're eating less and doing more cardio – you're pushing it pretty hard. At this point, I'd suggest a couple of things:
First, if you feel like the diet is really easy, maybe you can restrict down again food-wise. You take it down to 2000 calories of food per day if you're not already there.
Second, if you're already having a tough time with diet, the flipside is to add more calorie output in some way with physical activity. If you're already doing the fasted morning stuff, maybe you try some HIIT after a weight-training workout, or vice-versa. If you can't do both because of your schedule, you can start adding sets in the gym.
Once you're 1000 calories below maintenance, you really have to decide whether you're fresh enough to do this physically or dietarily. It's a subjective call. If this is coming at the end of month two or during month three of your cutting phase, and you find yourself having a tough time sleeping, getting head colds, upper respiratory tract infections, or cold sores, you're probably overtraining.
There's a clear link between your immune system taking a hit and overreaching. Your body could be saying, "Listen, I'm struggling here. Enough with the extra exercise volume!"
Use this to decide where you're going next. If my motivation to train was humming along at 6's and 7's and now it's routinely a 3 or a 4, I'm burning myself out. Now I know not to add any more cardio or sets in the weight room.
I do the same thing with hunger. This is where experience plays a roll: Is it "munchies" calling, or is it truedepletion? There's being "empty and weak" and then there's "wishing you had a bag of chips." The latter is just your love handles calling. The former may be your muscles calling, so go ahead and feed them a little.


The 1200 to 1600 Calorie Rule

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As a rule of thumb, most authorities will tell you – rightly – to never go below 1200 calories a day. But frankly, that's usually for smaller women or for those who aren't physically active. Why 1200? Because you can't possibly get all the nutrients you need from a variety of foods with a ceiling below that!
For college men, I'd never go below 1600 calories per day, and then only temporarily. That's ridiculously low, especially if you're already doing cardio as part of your plan.
Right now I'm two weeks from a bodybuilding show, in strict contest prep mode, and I'm sitting at 1600-1800 cals. Let me tell you, it's not even fun right now! I'm just trying to hold myself together. The little nagging injuries are starting to accumulate. (Then again, I'm 42, with lots of mileage on this chassis.)
In any case, if you're strung out and under-eating, you may start cramping and getting little injuries that just don't go away. This is especially obvious to the older, more experienced lifter. That's because you're eating so little that your tissues just aren't turning over.
Let's say you're well into a diet, say month four (weeks 13-16 out of 20). You're at a rock-bottom 1600 kcal per day and doing cardio. First, realize that this isn't sustainable. You should have a target date where the diet is "finished." Now, consider NEPA.


The NEPA Factor

One of then things I have people do is buy a pedometer that measures steps taken per day. First, get some baseline data of how many steps you take when you're eating well – your normal diet. Let's say you're walking around getting a good 8000 steps per day.
But now, months deep into your diet, you look down and you're getting 4000 or 5000 steps per day. You're moving around less in part because you have less thyroid and leptin. You're less energized. You're sluggish. Your body is trying to conserve energy.
This decreased NEPA (Non-Exercise Physical Activity) is yet another factor to keep in mind. It's one more thing you can "ballpark" measure.
I don't think people really understand NEPA. Most of us are closer to sedentary than we think, even if we go to the gym and do our cardio. To achieve "very active" status in one of those formulas that determines your calorie needs, you have to have a manual labor job, then go work out, then go dancing all night!
Most of us fall into the middle of the NEPA category: light to sedentary work but with intense recreational exertion. Overall, this may be considered "moderately active" in one of those dietary software programs. That's where I fall as a bodybuilding college professor.


The Supplement Edge

If you're afraid that your BMR is slowing, consider supplements. Caffeine will boost it by about 10%, and so will Spike® Energy Drink or Hot-Rox® Extreme. Plus, good ol' water helps with thermogeniesis. (Boschmann, M., et al. 2003) So you may want to swig down your supplements with plentiful, cold H20.


So What Have We Learned?

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Exercise results in a small magnitude of body weight change, but it's long in duration (lasting). In other words, for those who start to exercise but don't touch their diets, they'll have modest results, but those results will last forever if they keep exercising.
Diet is the opposite. Dietary changes tend to be dramatic. You can lose 10, 20, 30 pounds, but it's not long term, especially if it's not accompanied by training. The long term success rate of restrictive stand-alone diets is dismal (perhaps about 5%) over eight years.
This illustrates why it's important to do both: exercise and eat right. You can take small steps and increase one but not the other, or you can do both at the same time, intelligently, for faster results.
How much exercise is too much? If you experience lack of motivation and are getting sick or injured, you've already gone too far. As a best guess for most people, two hours a day is the top-end. That could be an hour in the morning and an hour at night.
Ectomorphic people, who tend to be thinner and more angular, may only be able to get away with 90 to 120 minutes per day.
Very robust endomorphs or mesomorphs, those who genetically carry more fat and muscle, may be able to get away with 2.5 hours of exercise per day.
For calorie restriction, 1600 calories is rock-bottom for the average T NATION reader. My advice is to take your time getting to that level, then have a targeted end date. I like 20-week diets.
Remember, you can't keep cranking the diet knob and lowering calories forever. Instead, switch gears: do extra sets, add cardio, or add supplements.


References and Further Reading

1. Borel M., et al. Am J Clin Nutr 1984 Dec;40(6):1264-72.
2. Boschmann, M., et al. J Clin Endocrinol Metab. 2003 Dec;88(12):6015-9.
3. Bray, G. Lancet 1969; 2:397.
4. Carrithers, J., et al Aviat Space Environ Med. 2007 May;78(5):457-62.
5. Docherty, D. and Sporer, B. Sports Med. 2000 Dec;30(6):385-94.
6. Dolezal, B. and Potteiger, J. J Appl Physiol. 1998 Aug;85(2):695-700
7. Dudley, G. and Djamil, R. J Appl Physiol. 1985 Nov;59(5):1446-51.
8. Ormsbee, M., et al. J Appl Physiol. 2009 May;106(5):1529-37.
9. Santtila, M., et al. J Strength Cond Res. 2009 Jul;23(4):1300-8.

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